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연구정보

[경영] 한국의 대 마그레브 시장 진출에 있어서 ‘소프트파워’(Soft Power)의 필요성에 관한 연구

아프리카ㆍ 중동 일반 국내연구자료 학술논문 임기대 한국프랑스학논집 발간일 : 2017-05-31 등록일 : 2017-12-15 원문링크

On dit que le cœur de la société du 21e siècle est la 4e révolution industrielle. Ce que l’on qualifie souvent de 4e révolution industrielle, appelée ‘convergence’, promet de fusionner les sciences physiques avec le numérique et la biologie et cette révolution est basée sur le ‘soft power’. La politique diplomatique et économique du 21e siècle n’échappera pas à cette compétition sans fin ni compétitivité culturelle. L’expression ‘softpower’ est souvent employée comme synonyme de politique d'influence (économique, culturelle) initiée par l’État et désigne de multiples formes de communication publique. Parmi tous les pays africains, l’Algérie était le partenaire clé de la Corée du Sud dans différents domaines. Mais en cinq ans, les entreprises coréennes ont perdu leur place de partenaire privilégié au profit des émergents comme la Chine, l’Inde ou la Turquie. Compte tenu de ces circonstances, il convient d’être compétitifs et même de redéfinir cette notion de compétitivité de la Corée du Sud. Dans cette étude, nous avons mentionné la nécessité des efforts à fournir afin de surmonter les problèmes rencontrés. En particulier, c’est à la stratégie du ‘soft power’ que revient le rôle d’identifier les partenariats possibles et souhaitables avec les pays d’accueil par le biais de l’attaché culturel. La Corée du Sud doit s’intéresser aux pays moyennement développés dans lesquels existe une bourgeoisie. Nous avons examiné l’exemple de la France, à savoir l’Institut français, un nouvel acteur pour mettre en œuvre la diplomatie culturelle de la France. S’il est possible d’établir une formation systématique assortie d’un centre unique de décision sur la base de la Hallyu en Afrique, la diplomatie culturelle de la Corée pourrait initier de nouvelles stratégies commerciales.

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